Chroniques du Itiaï
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Chroniques du Itiaï

Oyez, oyez, l'histoire du XXIVième siècle...
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

 

 Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE]

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Asavakit Iri

Asavakit Iri


Messages : 9
Date d'inscription : 23/06/2010
Localisation : De maison en maison, on le trouve souvent chez le mage Illysia

Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Empty
MessageSujet: Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE]   Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeMer 23 Juin - 20:52

Oyez, Oyez, la rumeur...

Prénom : Asavakit puis Iri (Asavakit est devenu comme son nom de famille et Iri est resté son prénom)

Surnom : « L’enfant à la couverture bleue », « l’enfant aux yeux bleus », «l’enfant qui chantonne», « le garçon aux mots » et encore bien d’autres appellations.

Age : 13 ans

Métier : Ménestrel (Il arpente les rues en chantant les dernières nouvelles selon la façon dont il les vit et les voit, il invente aussi des poèmes qu’il récite à haute voix. Et il peint souvent pour exprimer sa façon de voir le monde.)

Armes / Spécialité : Il a une douce voix d’enfant, n’ayant pas encore mué. Mais il ne sait pas seulement chanter, il écrit et invente des poèmes, il peint également avec le minimum de matériel...

Orientation Sexuelle : Ce jeune garçon n’a encore jamais connu l’amour.


Oyez, Oyez, la vérité...

Portrait Physique

Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] After_10

Comme un animal qui nous est cher, comme une petite bête qu’on veut tenir au chaud contre nous, cet enfant en a déjà amadoué plus d’un grâce à son physique d’ange. Il n’est pas ce qu’on appelle un « beau garçon », il est juste mignon et surtout, il a du charme. Il n’est pas très grand, environ 1mètre45, et n’est vraiment pas gros. Il est plutôt maigrichon, du fait qu’il n’a pas toujours de quoi manger. Et bien qu’il en ait enchanté certains, son apparence négligée et sa façon se s’habiller pauvrement en a dégouté d’autres. Son allure de mendiant l’a souvent mis à l’écart, il fut d’autres fois rejeté, insulté, battu et même parfois esclavagé. Mais même après cela, c’est un garçon qui reste doux. Son visage a l’air triste. Sa peau est pâle, d’une blancheur impeccable, il n’a ni grain de beauté ni tâche de naissance, comme s’il n’était pas vraiment humain, mais plutôt ce genre de poupée fabriquée sans aucun défaut. Toutefois certaines cicatrices viennent parfois briser la douceur de la peau de l’enfant, comme pour nous montrer qu’il n’a pas connu que des tendresses, et que la vie d’un petit garçon, même mignon, n’est pas toujours si simple. Les mains du garçon, comme ces cicatrices, parlent de lui, ses doigts maigres et pâles, presque translucides, qui agrippent sa couverture bleue, qui la sert contre son corps envahit par le froid, nous transmet ses émotions : lorsqu’il a peur il agrippe, lorsqu’il aime il sert fort, lorsqu’il se sent bien il caresse… Ses pieds sont fins, mais il porte souvent de petites sandalettes ou des chaussettes sales dépareillées souvent trouvées sous les fenêtres des maisons habitées, la nuit lorsque le monde dort et que lui est éveillé.
Ses cheveux sont presque blancs, comme il n’a pas de quoi les coiffer ils restent ébouriffés, mais c’est ce qui donne du charme au garçon. Lorsqu’ils sont mouillés, ou bien lorsqu’il fait très sombre, que le temps est mauvais, ses cheveux blancs cassés foncent, ils en deviennent presque noirs. Mais ce qui est le plus déconcertant chez lui, ce sont ses yeux. En effet ils sont d’un bleu clair foudroyant. Malheureusement, le pauvre Asavakit Iri a un problème de vue, du à son passé, il y voit extrêmement flou. Alors lorsqu’il parle et même lorsqu’il marche ses yeux restent clos. Il essaie en fermant ses yeux d’oublier qu’il voit le monde floue. Lorsqu’il les ouvre, toujours que quelques secondes, on peut voir ses beaux yeux bleus très clairs qui se referment presque aussitôt. Généralement, il les ouvre longtemps seulement pour regarder autour de lui afin de peindre ce qu’il voit. Tout est imprécis, juste quelques couleurs et des courbes partout qui forment son monde, à lui et lui seul.


« Il a les yeux bleus, le petit, des yeux bleus comme sa couverture.
Et ces beaux yeux bleus, au petit, sont pareils à des brulures.
Il a dû y passer, le petit, passer sous les doigts de la torture.
Et ses cicatrices, au petit, on les voit mêm’ si tout est obscure. »


Portrait moral

Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Sina210

Ce qu’il y a de plus intéressant chez ce personnage n’est ni son physique bien qu’il soit particulier ni son histoire bien qu’elle soit importante, mais c’est bien entendu sa psychologie. Lui qui parait si simple au premier abord, si l’on se penche un peu plus sur sa personnalité, n’est pas ce genre de personne qu’il laisse paraitre. Dans les rues, tout simplement en l’écoutant, on peut en comprendre un peu plus sur sa personnalité, sur sa vie marquée de terribles événements. Mais ce n’est pas un personnage qui raconte sa vie et exclusivement sa vie, ce qui l’intéresse c’est raconter la vie du monde, et la vie du monde est encore plus catastrophique que celle du garçon. Effectivement, Asavakit Iri parle de lui uniquement à la troisième personne du singulier, il n’a jamais dit « je » parce que pour lui, l’être en lui-même n’est pas plus qu’un grain de sable. Lui ou quelqu’un d’autre, cela revient au même : « il ». Les tumultueuses péripéties qu’il a subit, ou qu’il a juste vu, ont changé sa façon de penser, de rêver, de vouloir et d’entreprendre les choses.
Une des choses importantes de sa psychologie, dans ce monde divisé, c’est qu'il est neutre. Il ne veut ni être pour ni être contre, et cela ne veut aucunement dire qu’il n’a pas d’avis, au contraire il est partagé. Allant de maison en maison, il entend les avis de tous, et peut ainsi se créer son propre opinion. Pour lui, rien n’est tout blanc ni tout noir.
Beaucoup de faits de sa personnalité se jouent dans son inconscient, dus à sa naissance, à l’histoire de ses parents qui n’est tout de même pas ordinaire…Quoi que. Dans tous les cas, il a dû très vite apprendre à se débrouiller seul mais aussi apprendre à faire confiance aux autres.
C’est une personne qui, au fond, aime que l’on s’occupe de lui mais qui ne le montrera jamais pour se protéger. Il veut éviter de s’attacher à quelqu’un. Lorsque par chance il tombe dans une famille qui prend soin de lui, il ne profitera pas de la gentillesse de celle-ci, mais va retourner dehors, et retiendra l’adresse pour y revenir au cas où il ne trouverait pas d’autres solutions.
Lorsqu’il doit essuyer un refus, il laisse une légère mélodie, toujours la même, sortir de sa bouche. Et fermant les yeux, comme à son habitude, il empêche ainsi les larmes de couler sur ses joues.

Il toque à la porte et fait un vœu
Faite qu’ils lui donnent un abri pour cette nuit
« Il est jeune, il est petit » dit-on de lui
Est-ce l’âge qui compte ?
« Il ne nous servira à rien »
Et puis même si c’est vrai
Au final ne sont-ce pas eux
Les petits, petits vauriens… ?
Mais jamais on le leurs dit.
N’ont-ils pas seulement un peu honte ?
Devraient-ils ? Ils le devraient…

Lorsqu’on l’entend chanter ainsi, sans abri, on comprend que le pauvre garçon n’a pas eu le droit à un « oui ».
Et même s’il ne connait pas le sens de tous les mots, il joue avec et s’amuse à les utiliser plus pour leur sonorité que pour leur sens.




But / Objectif : Il rêve d’un monde un peu plus beau. Son principal objectif, au jour le jour, est de se nourrir, de ne pas avoir trop froid.

Peurs : Il a peur de la mort. Et il a surtout peur de perdre Illysia, la jeune femme qui l’a recueilli, l’a nommé, et l’aide encore aujourd’hui. Il a la peur de perdre sa voix comme il a autrefois perdue une partie de sa vue à cause de la pluie mais aussi aux choses moches auxquelles il a assisté. Il n’est pas confiant, mais comme il doit demander sa nourriture à des inconnus il renifle souvent ce qu’on lui donne, son odorat est très développé grâce à cette pratique, qu’il fait tout le temps.

Oyez, Oyez, ce qui fait peur...

Famille / Liens : Illysia, mage, l’a recueilli lorsqu’il avait sept ans, c’est elle qui l’a nommé

Histoire


Cet enfant qui, en ce jour, comme vous le savez déjà, n’est guère plus âgé de 13 ans, n’a jamais vécu ailleurs que sur ces terres sombres et froides. On pourrait se dire qu’alors, il n’a pas vécu d’extraordinaires choses et que son histoires ce résumerait à quelques mots. Mais sa naissance ainsi que le déroulement de son enfance jusqu’à sa préadolescence est des plus intéressantes et des plus obscures. Je vais raconter, à qui voudra lire, son histoire personnelle.
Remontons d’abords à ses origines, sa mère et son père, leur union. Sa mère, colérique, faisait partie des rares opposants au roi. Pour elle, hors de question que la fille du roi devienne reine, qu’elle dirige le peuple. "Non mais, ce n’est pas cette catastrophe qui va lui permettre d’avoir un si haut rang, elle se croit tout permis exclusivement par le fait qu’elle a du sang d’un roi maudit dans les veines." Contrairement à cette mère au fort caractère, son père était du côté du roi et de la future reine aussi par conséquent, il était même prêt à combattre à ses côtés si ça pouvait lui permettre de vivre et de se nourrir. Et au fil de leurs disputes, son père qui était pour le roi pour simple raison de survie était devenu « pro-reine » usant de tous les arguments qui lui passaient sous la main. Les amoureux se disputaient à longueur de journée, non pas pour trouver un terrain d’entente mais parce que c’était ainsi, les temps de guerre, même les couples les plus amoureux se disputaient.
C’est un matin du mois de janvier que l’enfant dont je veux vous conter l’histoire ouvrit les yeux pour la première fois. Et ce qu’il vit n’était pas beau à voir, c’est son père qui le sortit du ventre de sa mère, ou plutôt l’arracha du ventre de sa mère. Il le saisit et s’en alla avec l’enfant. Sa mère, sans force criait « mon enfant, mon enfant ! Rends-moi mon enfant ! ». Mais l’homme fuyait cette mère qui devenait folle, et voulant le bien de cet enfant avait pensé le confier au roi. Ne trouvant aucun endroit où s’abriter, l’enfant dans ses bras qui pleurait, la pluie qui fouettait son visage et le froid qui glaçait ses muscles, il revint au soir sur ses pas. C’est là qu’il trouva sa femme, toujours allongée, à l’endroit où il l’avait abandonnée, les yeux ouverts, ne bougeant plus. Il posa alors le bébé, qui criait toujours plus fort, dans un petit carton vide et prit sa femme dans ses bras, la secoua, l’embrassa, lui parla, la gifla. Rien à faire, la jeune femme, les yeux ouverts, la bouche ouverte, les cordes vocales explosées tant elle avait dû hurler, restait inanimée. Il posa sa main sur son cœur, et le sentit battre très doucement, il posa alors sa tête sur son cœur, et s’endormit ainsi, le sourire aux lèvres pensant « elle n’est pas morte ». Les battements du cœur de sa femme résonnaient si fort en lui que les pleures de son enfant n’étaient qu’une douce mélodie qui les accompagnait.
Le lendemain matin, au lever du jour, des gens commençaient à marcher dans les rues, et le père de l’enfant sentit dans ses cheveux sals de douces caresses familières. Il se releva, et vit à son plus grand bonheur le visage de sa femme, ses cheveux négligés, ses habits déchirés et son corps à moitié nu. Il sourit et la serra un peu plus contre lui. La jeune femme d’habitude tant colérique paraissait douce presque gentille, compatissante envers son mari revenu. « Tu es revenu... Où est notre enfant ? » Le père de l’enfant, bondit, se releva, alla chercher l’enfant endormi dans le petit carton, le berça un peu, et le porta à sa jolie femme salie par la douleur. Celle-ci prit l’enfant, caressa sa peau blanche et déposa un baiser sur ses tempes. Puis elle releva son visage vers son mari et le regarda cette fois-ci durement, elle prononça, lentement, quelques mots : « Merci. Tu peux t’en aller maintenant, cours auprès de cette petite princesse qui deviendra reine, baise la, lèche lui les pieds autant de fois que ta langue te le permettra, et ne revient pas. Cet enfant, tu m’entends, est le mien. Vas-t-en ». Ces mots furent si durs que ce fut les derniers qu’elle prononça de toute sa malheureuse existence.
Son mari, abattu, tomba aux genoux de la femme colérique qu’il aimait, qu’il avait retrouvé si douce et qui lui parlait maintenant si froidement, durement, méchamment…Il se mit à sangloter, mais elle tourna les talons et partit s’asseoir plus loin. Il comprit, et s'en alla en boitant, le coeur déchiré, les mains vides, le corps douloureux, si douloureux qu'il ne voulait plus supporter la douleur. Il marcha jusqu’à une maison un peu détruite, il trouva ici une couverture bleue et s’allongea sur celle-ci. Il dormit ainsi, comme il le put. Pendant un an, il compta les mois, les jours et les heures…
Pendant cette année là, la mère s’occupa de son fils qui grandissait bien vite, ses yeux bleus grands ouverts, il souriait à la vie pourtant si moche. Et c’est le jour de l'anniversaire du garçon, au mois de janvier, qu’apparut devant eux, son père. Il était d’une maigreur à vous faire perdre un os, il avait la peau qui se déchirait et tenait à peine debout. Sa couverture sur le dos, il grelottait. Il utilisa sa voix, qui durant un an avait cessé d'exister, ses yeux rouges dans les yeux tristes de sa femme : « C’est l’anniversaire de ton enfant, maman. Voilà... Voilà... » Il cherchait ses mots en répétant le mot « voilà » avec des bégaiements enfantins. Il tendit alors la couverture bleue à sa femme, laissant son corps nu au froid et à la vue de tous ces gens qui passaient mais qui n’étaient guère plus en forme. Elle ne prit pas la couverture et il la laissa tomber sur le sol : « Elle m’a tenu vivant, qu’elle le tienne vivant…lui aussi, assez longtemps pour… » Il tomba à son tour par terre n’ayant plus de force pour finir sa phrase. La femme prise de pitié pour cet homme paraissant maintenant à ses yeux si honnête et si gentil s’abaissa auprès de lui, et comme auparavant caressa ses cheveux sals. Mais, n’ayant plus de mots, ne put lui demander de finir sa phrase. C’est l’enfant dans ses bras qui enchaina de son cri de vie « Pouuu ? ». Et l’homme regarda l’enfant, saisit sa main « Pour que…que tu réalises ce qui est vraiment important… ». Et l’enfant, comme l’aurait fait un vulgaire perroquet renchérit d’un sourire toujours aussi vivant « Impotaaan ? ». La femme souriait en attendant les mots si beaux de son mari qu’elle avait laissé partir et qu’elle laisserait mourir sous ses yeux à présent. Le père de l’enfant ferma les yeux et dit enfin ses derniers mots : «Asavakit ».
Ce fut le prénom que donna la mère à son enfant, tout juste un an après sa naissance, sans savoir ce que voulait réellement dire ce mot prononcé par son défunt mari. En vérité, je vous le dis à vous, Asavakit veut tout simplement dire « je t’aime » en groenlandais. Et c’était bien ça le plus important pour le père de l’enfant, il aimait.
Jusqu’à l’âge de ses sept ans l’enfant vécut avec sa mère, celle-ci lui disait de ne jamais quitter sa couverture bleue, elle était toute son existence. Lorsqu’il partait jouer et qu’il oubliait la couverture elle le grondait sévèrement. Mais c’est un jour anodin, que le petit garçon rentra chez lui et trouva sa maman endormie étrangement en plein milieu de l’après-midi. Il resta à ses côtés, lui prépara à boire et à manger. Mais jamais sa maman ne put gouter ce qu’il lui avait préparé tendrement, avec tout son cœur et ses mains salies. Il dormit à côté d’elle, et le lendemain matin, il fut réveillé par des villageois connaissant sa pauvre maman. Il alla assister à l’enterrement de celle-ci qui eut lieu bien vite, sans trop de larmes ni de mots. Quand il se retrouva seul, les yeux grands ouverts il regarda le ciel et pria je-ne-sais-qui de lui rendre sa mère. Il se mit à pleuvoir, des gouttes de pluies tombèrent dans ses yeux grands ouverts qui se fermèrent immédiatement. Lorsqu’il les rouvrit, sa vue était devenue floue. L’enfant regarda cette fois-ci la terre, et donnant un coup dans une petite tâche grise qui roula jusqu’à se fondre avec les autres petites tâches, il marmonna pour lui-même « Tu m’as puni d’avoir trop exigé…».
C’est à partir de ce jour là qu’Asavakit dût se débrouiller tout seul. Pour se nourrir, il toquait de maison en maison, parfois on le refusait parfois on l’accueillait. Durant quelques mois il mena une vie dure, il ne parlait presque plus, dormait peu, cauchemardait. C’est un beau jour qu’il fit la rencontre d’une jeune fille nommée Illysia, elle n’était pas comme les autres, elle était douce et l’accueillit chez elle comme son propre fils. Sa première exclamation en le voyant fut « Iri ! » qui veut dire bleu en Tören, l’enfant avec sa couverture bleue se tenait devant elle la tête baissée et la main levée demandant une bouchée de pain. Lorsqu’elle s’était exclamé Iri, l’enfant avait compris, il avait levé la tête et avait ouvert ses yeux bleus. La jeune Mage fut charmée par cet enfant, et Iri devint vite son nouveau prénom.
Elle lui expliquait qu’elle croyait en la reine, mais lui restait neutre. Il resta chez elle quelques jours, puis, ne voulant pas abuser de sa gentillesse, il continua à toquer aux portes. Bien que cette vie était difficile à mener, quelque part ça lui plaisait, il entendait tous les avis de toutes les maisons, goûtait toutes sortes de nourritures…Et lorsqu’il retrouvait Illysia il lui racontait toutes ces choses qu’il découvrait, il lui chantait des chansons, et elle l’encourageait. Avec le temps il prit l’habitude de chanter ainsi ce qu’il découvrait dans les rues et d’inventer des poèmes.
Sa vie a continué ainsi jusqu’à maintenant. Et il continuera sûrement à rencontrer de nouvelles personnes, à chanter et à conter ses poèmes dans les rues sombres de l’Itiaï...

A vous...
Votre âge IRL ? 16 ans.

Comment avez-vous découvert le forum ? Par connaissances. (Ma soeur et la reine aussi ♥ )

Des objections ? [CODE BON] Sinon, non.

Votre présence 3.5/5 : J’essaierai d’être là le plus souvent possible.


Dernière édition par Asavakit Iri le Jeu 24 Juin - 2:44, édité 13 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://crookeed.skyblog.com
Illysia
Mage
Illysia


Messages : 23
Date d'inscription : 22/06/2010
Age : 30
Localisation : Quelque part dans l'immensité d'Hirmaïe...

Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Empty
MessageSujet: Re: Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE]   Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeMer 23 Juin - 21:02

Aaaaah ben fallait trouver mais maintenant ça marche ^o^ \o/
Revenir en haut Aller en bas
http://www.larmedetoiles.skyblog.com
Sirilatie
~ La Reine-Fleuve ~
Sirilatie


Messages : 79
Date d'inscription : 22/05/2010
Localisation : Au Château

Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Empty
MessageSujet: Re: Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE]   Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeJeu 24 Juin - 1:02

  • Illysia, je te demanderais, s'il te plait, de ne pas trop flooder sur les fiches ^^
    Donc, l'avatar est OK? désolée de ce petit problème !

    Ton personnage est très intéressant ! J'adore les ménestrels ! (Attention, la Reine va finir par t'embaucher ^^) C'était aussi une très bonne idée pour le couple déchiré par leurs opinions politiques.
    Juste un petit truc qui m'a dérangé c'est qu'un petit garçon de sept ans enterre seul sa mère. Voilà, si tu pouvais juste mentionner quelques villageois qui la connaissaient ou quelque chose comme ça, ce serait parfait.

    Sinon, tu as le bon nombre de mots donc je te VALIDE.

    Tu peux commencer à jouer quand tu auras fait mon petit édit ! =)
Revenir en haut Aller en bas
https://chroniquesduitiai.forum-actif.net
Asavakit Iri

Asavakit Iri


Messages : 9
Date d'inscription : 23/06/2010
Localisation : De maison en maison, on le trouve souvent chez le mage Illysia

Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Empty
MessageSujet: Re: Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE]   Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeJeu 24 Juin - 1:50

Pour l'avatar c'est bon, cette fois-ci c'est la signature qui pose problème, mais sur forum-actif c'est commun, ça marchera peut-être pour ce message là, qui sait ?

Et puis vive Word pour le bon nombre de mot, parce que j'imagine les idiots qui comptent leurs mots comme pour les contrôles d'anglais~ la galère x')

Bref, j'ai fait ton petit édit, et je trouve ça plus sympa comme ça, alors c'est cool.
Pour t'éviter de chercher à travers tout ces mots : "Il dormit à côté d’elle, et le lendemain matin, il fut réveillé par des villageois connaissant sa pauvre maman. Il alla assister à l’enterrement de celle-ci qui eut lieu bien vite, sans trop de larmes ni de mots. Quand il se retrouva seul, les yeux grands ouverts il regarda le ciel [...] "

Merci pour ce forum dans tous les cas, il fallait que je trouve un endroit où te le dire. Du nouveau, ça fait du bien.
Revenir en haut Aller en bas
http://crookeed.skyblog.com
Contenu sponsorisé





Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Empty
MessageSujet: Re: Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE]   Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Slavsia [VALIDÉE]
» Iiray dit La Furie Ecarlate [VALIDÉE]
» Illysia Hrigya, dite la Mage Neige. [VALIDÉE]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Chroniques du Itiaï :: Incipit :: Présentations-
Sauter vers:  
Derniers sujets
» Voodoo Child [PARTENAIRE]
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeDim 3 Avr - 22:48 par Invité

» Audience avec Sa Majesté Sirilatie
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeVen 31 Déc - 10:34 par Sirilatie

» Fermeture ?
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeMar 30 Nov - 5:24 par Sirilatie

» Nescio Vos [PARTENAIRE]
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeSam 13 Nov - 8:22 par Sirilatie

» Un peu de... sérieux, ciel !
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeSam 13 Nov - 8:03 par Sirilatie

» Je serais là...
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeSam 9 Oct - 7:54 par Herinnen

» Qui est prêt à poster ?
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeDim 26 Sep - 5:06 par Sirilatie

» Alors que les ténèbres envahissent les Palais d'ivoire...
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeMer 22 Sep - 5:22 par Slavsia

» Event n°1 : Rendez-Vous..
Asavakit Iri dit l'enfant à la couverture bleue [VALIDÉE] Icon_minitimeSam 11 Sep - 3:49 par Sirilatie